dimanche 18 décembre 2011

N°69


Le même que le n°68 mais 3 jours après !

N°68


Seule. Fin de matinée. A mon bureau.

Ma tournée des blogs me plonge ce jour dans une excitation difficilement canalisable. L'heure de mon déjeuner professionnel approche, je n'hésite pas longtemps à mettre mes doigts dans ma culotte.
Une vidéo X m'emmène à l'orgasme en deux minutes.

N°67


En soirée. Chez moi. Avec Sacha.

Je m'étais promis qu'il ne voit pas mon sexe pas épilé. Quand il m'a dit, "déshabillez-vous et caressez-vous", j'ai obéi sans perdre une seconde.
Lui offrant sans pudeur ce que j'avais voulu cacher, je visite mon sexe trempé. Mes yeux se plantent dans les siens et mes doigts deviennent le prolongement des siens. Je sens le rouge me monter aux joues, mon souffle s'accélérer et je jouis en gémissant.



mardi 6 décembre 2011

N°66

Après-midi (sensé être) de boulot. Seule sur mon canapé. Sacha au bout du mail puis du fil.

Sacha a la capacité incroyable de m'exciter par de simples mots. Bien choisis. Il connecte mon sexe à mon cerveau et, quasi instantanément, mon sexe se trempe de désir. Je retarde le moment d'y mettre les doigts, savourant de sentir ma culotte se mouiller, mes lèvres se gonfler, mon sexe couler. Sacha me demande au contraire de me caresser puis de l'appeler afin qu'il m'entende jouir.
Je quitte mon bureau et m'installe sur mon canapé. Je suis tendue de devoir lui téléphoner ; nous nous connaissons finalement peu. Mes doigts soulèvent ma culotte et effleurent mon sexe. Il est trempé et mes qq caresses m'amènent déjà au bord de l'orgasme. Mon téléphone dans la main gauche, mon sexe dans la droite, j'offre à Sacha d'entendre mon plaisir.



samedi 3 décembre 2011

N°65


Sur mon canapé. Fin d'après-midi. Seule.

J'échange depuis 2 jours des mails avec un blogueur que je connais depuis longtemps. Mails qui ont pris un tournant sérieusement érotique et qui me plongent dans un délicieux état d'excitation.
Nous discutons depuis une heure, je pense. J'ai retiré mon jean mais gardé ma culotte. Elle est complètement trempée. Je sens qu'elle est imbibée de ma cyprine qui coule à la mesure que mon excitation grandit.
Je ne veux pas me caresser pour ne pas perdre un de ses mails. Puis, je n'y résiste plus.
Je jouis alors qu'il me répète qu'il va m'enculer. Et qu'il va aimer ça.

N°64


Même jour, un peu plus tard. Dans un sauna.

Victor est un l'amant idéal. Il me conseille sur mes relations avec un autre de mes amants et m'emmène me divertir dans un sauna libertin. J'apprécie de plus en plus la détente du hammam et c'est un délice de le sucer dans cette moiteur.
Plus tard, dans un des coins câlins, j'entrevois le paradis... De ses doigts, Victor caresse longuement mon clitoris déjà bien excité. Je ne saurais dire si un de ses doigt a visité mon cul. Je sens le plaisir monter, monter, monter.... Je voudrais, avec le recul, avoir pu arrêter le temps pour prendre conscience de l'intensité de cet orgasme. Je manque de mots pour décrire ce que j'ai vécu.
Cet orgasme me transperce le ventre, je suis agitée de tremblements et mets longtemps à retrouver le calme. Je suis définitivement clitoridienne !

Un couple nous regarde et me caresse le visage. Ils m'ont dit ensuite combien ils ont trouvé érotique de nous voir.

mercredi 30 novembre 2011

N°63

Au réveil. Seule.

Je ne sais comment je me débrouille pour connaître, avec Paul, les inconvénients de l'amant... et ceux du mari. J'enrage de n'être avec lui qu'une mégère alors que je rêve d'être sa salope. De n'être que tendresse, luxe et réconfort. Je lis dans son mail de ce matin une rupture prochaine. Je voudrais qu'il soit mon dernier amant.
Je voudrais débrancher mon cerveau et mon coeur, les poser sur une étagère en attendant les temps où je serai plus solide.

Je cherche à fuir l'angoisse de cette probable rupture, je fais le tour de mes blogs favoris, l'un m'excite particulièrement... Mes doigts rejoignent mon sexe humidifié par mes lectures et mes commentaires. La vidéo d'un trans doublement enculé par 2 blacks achève de me mener à l'orgasme.

Je suis une pauvre fille.











N°62

Le lendemain après-midi. Seule.

Une brusque envie d'une femme à caresser, à embrasser. Envie de ses seins. De sa peau chaude et douce. De ses caresses.
Une vidéo de 2 lesbiennes m'emmènent jusqu'au plaisir.

N°61

Un soir. Seule.
Alors que je suis en train d'hésiter à me caresser, avant de me coucher, un lecteur de mon blog, croisé sur Facebook, m'y incite.
J'ai beau avoir un fort mal de tête qui me semble empêcher tout plaisir, mes caresses me mènent doucement à l'orgasme. Bon, y'a eu mieux....

lundi 14 novembre 2011

N°60


Qq jours plus tard. En soirée. Avec Paul.

L'ambiance est tendue à son arrivée. Il a beaucoup d'absences et de silences à se faire pardonner. Je ne veux pas céder facilement à ses caresses. Nous discutons longuement de notre relation aussi intense qu'impossible. Il me supplie de lui laisser, de ses doigts, sentir mon intimité trempée. Je suis partagée entre la volonté qu'il comprenne qu'il ne peut pas disparaitre et réapparaitre ainsi, et le fort désir de le retrouver en faisant l'amour.
Petit à petit, je le laisse reprendre possession de mon corps. C'est émouvant de voir l'intensité avec laquelle il redécouvre chaque zone de mon corps. Il prend son temps. Je suis aussi nue qu'il est habillé.
Au bout d'un long moment, il concentre ses attentions sur mon sexe complètement trempé. J'écarte les cuisses, me cambre et sens monter le plaisir. Il pourrait m'enfoncer un doigt dans l'anus, je jouirais instantanément. Je n'en ai pas envie, juste l'envie de lui montrer qu'il est capable de me faire jouir avec sa seule main sur mon clitoris, juste l'envie de lui offrir cet orgasme. 
"Encore, encore". Je l'encourage, mes yeus plantés dans les siens, je sais que sa main doit fatiguer... "Encore, encore". Le plaisir monte, par étape, et explose. Eclair, tonnerre et orage. Je suis agitée de spasmes et les larmes coulent.

Malgré notre envie, mon corps n'a été capable de rien de plus...
Je penserai, en m'endormant après son départ, que cela a été le plus fort orgasme que Paul m'ait donné et je crois que je le décrète meilleur orgasme de la saison !

jeudi 10 novembre 2011

N°59


Seule, dans mon lit.

Comme souvent, l'écriture de mes derniers orgasme sur ce blog me donne envie de me caresser....
Qui dit caresse dit orgasme.
Tout eu douceur, en regardant une vidéo d'une femme en sodomisant une autre.

N°58


Qq minutes, un verre d'eau et une douche plus tard.

Victor et moi avons trouvé un coin câlin qui se ferme. Une fenêtre laisse la possibilité de regarder et de toucher à travers les barreaux.
Alors que Victor est allongé sur le dos, bien calé dans des coussins, je déguste son sexe longuement. Je m'en amuse, m'en délecte, le lèche et le suce, le lape et l'avale.
Se lasse-t'il ? J'entends Victor déchirer l'étui d'une capote et me conduire à m'empaler sur lui. Il écarte mes fesses qui doivent être ainsi bien offertes à la vue des quelques hommes massés derrière les grilles. Je crois que j'aime ça.
Je voudrais voir leurs visages quand j'enfonce doucement le sexe de mon amant dans mon anus serré. Je râle et gémis en jouissant.

jeudi 3 novembre 2011

N°57


Qq petites minutes après.

Victor ne semble pas vouloir s'arrêter là. Je m'allonge sur le dos, écarte les cuisses. Je sais que j'offre un spectacle trés excitant aux voyeurs qui nous regardent en se caressant. Je les oublie et plonge mes yeux dans ceux de Victor : ses mains vont de mon sexe avide à mes seins qu'ils pincent et ma gorge qu'il sert. Ses doigts se font plus fermes et réguliers sur mon clitoris gonflé. Je le supplie de continuer... encore, encore.
Cela fait longtemps qu'un amant ne m'a pas fait jouir sans m'enculer. Je croyais même ne plus en être capable. Belle surprise d'un orgasme trés puissant que je sens monter, monter, monter. Et exploser.

N°56


Dans un sauna libertin. Avec Victor.

Sauna, hammam... Nous nous sommes pas vus depuis longtemps ; c'est agréable de se retrouver dans cette ambiance détendante. J'ai droit à un massage long et archi-agréable. Qq hommes nous regardent mais je ne les vois pas, toute entière concentrée sur mes sensations.
Je sens, contre ma cuisse, son sexe tendu alors que ses mains parcourent mon corps huilé. Elles se font parfois aventureuses et un doigt s'introduit dans mon anus. Allongée sur le ventre, je prends son sexe durci dans ma bouche. C'est bon de le retrouver.
Je crois avoir joui quand il a entrepris de me visiter plus en profondeur.

mardi 1 novembre 2011

N°55


Seule, 15 jours plus tard. Ma vie sexuelle a bien perdu de sa fréquence...

Au petit matin, je rêve que Victor et moi faisons l'amour dans une couchette de train. Quelle manière agréable de se réveiller... J'en profite pour visiter mon corps, caresser mes courbes que nul n'a touché depuis longtemps. Je jouis en m'étonnant presque d'en être encore capable.

mardi 18 octobre 2011

N°54


Même endroit, quelques minutes après.

Le temps qu'il aille se laver les mains, j'ai repris mes esprits et me suis replacée, fesses tendues vers lui, me cambrant le plus possible (ô combien j'aimerais savoir me cambrer devantage !). Je ne sais plus dans quel ordre s'est passée la suite : il a revisité mon cul et je l'ai sucé. Ou l'inverse.

N°53

Sur mon canapé. Avec Paul. Minuit.
Est-ce le passage de la cinquantaine (d'orgasmes !) ? Libido à zéro pendant 15 jours !
Paul me rend visite, tard le soir : nous sommes tous les deux épuisés de fatigue et j'imagine que ce n'est pas ce soir que je vais briser ma cure de désintox' !
Pourtant... Je suis en jupe, bas et bottes. Il m'ordonne de lui présenter mon cul, le buste penché en avant, les genoux posés sur le bord du canapé. Du bout des doigts, il caresse mon sexe, avec une délicatesse trés excitante. Mes grandes lèvres sont à peine effleurées. Puis mon clitoris. Je sens mon sexe s'ouvrir et se tendre vers ses doigts. Je ruisselle lorsqu'il pénétre mon cul de ses doigts. S'en suit une longue, large et profonde visite... Je crois qu'il n'y avait jamais mis autant de doigt. Je le supplie de m'enculer (pourquoi dis-je ça alors qu'il a déjà la moitié de la main dans mon cul ?) avant de jouir en hurlant.

N°52

Avec Bruno. Dans son bureau. Après le déjeuner.

Je sais que Bruno veut que je le suce. Il sait que je n'en ai pas envie. Mais il est habile...
Il me caresse les cheveux, debout près du fauteuil où je suis assise. Son sexe sorti de son pantalon frôle ma tête renversée en arrière. "Montre moi tes seins" ; j'obéis. "Caresse-toi" ; j'obéis encore. Je baisse mon pantalon pour que ma main se faufile plus facilement dans ma culotte, les jambes posées sur le bureau. Et tourne la tête pour prendre son sexe dans ma bouche.
J'entends que l'on bouge dans les bureaux mitoyens. Cela ne m'empêche pas de jouir, quelques minutes avant Bruno.




N°51


Courte visite de Paul, un matin.

Nous discutons sur mon canapé, en buvant une tasse de thé.
Il me demande de m'asseoir par terre, face à lui, et de me caresser. Tout en poursuivant notre conversation. Difficile de se concentrer sur deux choses en même temps. Ma caresse est plus mécanique qu'agréable.
Puis, je le sens excité par ce qu'il voit, mes doigts dans mon intimité. Moi qui ne me pensais pas exhibitionniste, je prends du plaisir à voir qu'il trouve le sien à me regarder. Je m'allonge, toujours face à lui, écarte les cuisses et accélère le rythme de mes caresses.
Les yeux fermés, je ne réalise pas qu'il s'est levé, qu'il est allé chercher mon rosebud dans sa cachette... Je sens juste qu'il l'introduit en moi et joue avec. Je jouis longuement, en me cabrant.

mardi 27 septembre 2011

N°50


Seule. A mon bureau.

Le problème, quand j'écris ces récits, c'est que cela m'excite et que je suis obligée de me caresser.

N°49


Seule. Dans mon lit.

Hop. Avant de m'endormir, en train de lire ces contes érotiques à faire rougir les petits chaperons....

N°48

Avec Paul. Tard dans la nuit.

Qui dit engueulade dit réconciliation sur l'oreiller. Sinon, à quoi ça sert de s'engueuler avec son amant ?
Mon cher canapé n'aura pas droit de profiter longtemps du spectacle... "Sur ton lit, à genoux, jambes écartées" me dit Paul. Il m'a demandé 2 foulards qu'il sert autour de mes mains et de ma bouche. Puis me pousse en avant... La tête dans le matelas, je sens que Paul s'enfonce en moi. Où ? Je ne sais plus... 

Je me souviens qu'après avoir joui, j'ai pleuré. Comme un barrage qui cède.
Je me souviens lui avoir demandé de m'enculer. Encore.
Je me souviens qu'il m'a giflée, sans quitter mes yeux des siens et son sexe planté dans le mien.
Je me souviens qu'il a éjaculé sur mes seins.

N°47

Seule, dans mon lit.

L'expo de photos érotiques, les frolements et les discussions... puis la lecture de ces récits... Je sens mon sexe inondé de désir. Bien calée sur mes coussins, une main tient le livre ouvert et je poursuis ma lecture tandis que l'autre main visite mon intimité trempée, les cuisses bien écartées. Je crois qu'il est question des 7 nains et de Blanche-neige quand je jouis doucement.

N°46

Sieste sur mon canapé. Dimanche après-midi.

Si ce canapé pouvait parler..., on le baillonerait pour incitation à la débauche.
Orgasme tout doux comme une sieste de WE.

lundi 26 septembre 2011

N°45


Avec Manuel. La nuit. Sur un canapé.

On se connait depuis une heure à peine. Nous regardons Vincent encorder une jeune femme. Assise au pied du canapé, je sens les mains de Manuel s'aventurer sur le haut de mon dos et me pétrir le cou et les épaules. Je gémis presque aussitôt. Un mélange trés fort de douleur et de plaisir.
Il est devant moi, maintenant. Il me dira plus tard que mon visage s'est incliné et que, sans me connaître et sans avoir jamais pratiqué ceci, il a senti une trés forte envie de me gifler. Ce qu'il a fait. Il me fait mal, me sert les bras, me gifle, me contraint le cou, les épaules. Je suis dans un état d'excitation terrible. Je ne sais plus où je suis, ni qui je suis...
Il écarte mes cuisses, prend ma main et la pose sur ma culotte. Je jouis instantanément.

N°44

Ficelée sur le parquet. Avec Vincent.

Me voilà "bondagée" pour la 1ère fois. Jambes serrées, bras maintenus douloureusement derrière le dos. Immobilisée. Je sens mon intimité trempée. Impossible d'y approcher la main. Grrr...
Vincent m'aide à me mettre à genoux, le cul dressé, la tête au sol. Je sens qu'il cherche quelqu'chose dans sa valise à malices... Il introduit un objet dans mon anus. Qq'chose qui vibre et qui gonfle. L'excitation est terrible, immense. Je gémis à chaque fois qu'il actionne son jouet.

Plus tard, me voilà couchée sur le côté. Vincent approche de mon sexe trempé un hitachi, sex-toy que je n'ai vu que dans des films pornos américains.... Mais comment font les actrices pour résister plus de 2 minutes ? Je jouis en criant, serrant encore plus les cordes qui maintiennent mes membres.




mercredi 14 septembre 2011

N°43


Dans mon lit. Sous les yeux (et l'objectif) de Christophe.

J'ai le trac. Me caresser sous les yeux d'un photographe, je suis persuadée que je ne vais pas y arriver.
Je ferme les yeux pour m'isoler dans ma bulle, écarte lentement mes cuisses et caresse doucement mon entre-jambes. J'enfonce un doigt et je suis suprise d'y trouver de l'humidité que j'étale sur mes lèvres et mon clito.
J'entends les cliquetis de l'appareil-photo mais ne rouvre pas les yeux. Je réchauffe mon rosebud, cadeau de la semaine passée, et l'enfonce doucement dans mon anus. Je ne peux réprimer un soupir, mélange de douleur et de plaisir.
Ma main se fait active sur mon clito gonflé et le plaisir explose.

lundi 12 septembre 2011

N°42


Seule, à mon bureau.

Ecrire ses qq récits d'orgasme m'a liquéfiée. J'allume une video et ne tarde pas à jouir, les cuisses écartées, les pieds enroulés autour des barreaux de ma chaise.

N°41


Sieste du dimanche après-midi. Seule, sur mon canapé.

Bien au chaud sous un plaid, je caresse mon sexe, le visite. Une épilation récente l'a fait tout lisse. C'est trés agréable de s'y promener, dans les plis et les replis. Je jouis doucement.

N°40


Douche du club. Fin de nuit. Avec Paul.

Nous discutons beaucoup de mon malaise.
Je suce longuement Paul sous la douche, c'est trés agréable et calme.
Il me fait me relever et, de ses doigts, visite mon cul. Je jouis, encore une fois sans vraiment prendre du plaisir, mais je ne me lui dis pas.

Pfff.... Sale nuit !



N°39


En club.

Mon cul est exhibé face à plusieurs hommes, il me semble. Je ne vois pas, le visage contre le matelas. J'entends mon accompagnateur dire à un homme qui approche ses doigts de mon sexe, que ce ne sont pas des doigts que je veux... J'acquiesce d'un hochement de tête et un sexe dur s'enfonce en moi. Plus épais que long, il me fait beaucoup d'effet. Ses va-et-vient me font jouir assez rapidement... Un orgasme physique sans aucun plaisir. Je ne me sens pas à mon aise. Je ne sens pas mon accompagnateur près de moi, je me sens seule et j'ai envie de pleurer.
L'inconnu continue à me labourer, de plus en plus fort. Il me fait mal. Je ne dis rien. Je m'en veux de ne pas oser. Il est long à comprendre que cela serait bien qu'il s'arrête. Je le remercie d'un sourire faux.


N°38


Sur mon canapé. Fin d'après-midi. Avec Victor.

Je peux enfin le sucer, après 2 mois sans son goût dans ma bouche. Ouf, ce fut long.
Puis il reprend possession de mon intimité trempée. Il me giffle, me griffe, me pince. J'ai mal mais cela m'excite, toujours plus.
J'écarte mes fesses de mes mains qu'il puisse y enfoncer ses doigts. J'adore ça. Mes doigts à moi s'activent sur mon clito gonflé. Je jouis, les yeux fermés. Mon souffle met longtemps à se calmer.


N°37

Pfff.... J'ai pris du retard....


Dans mon lit. Minuit. Qq jours plus tard. Avec Paul.

Je dors quand il arrive. Ses caresses me réveillent doucement. Je ne me souviens plus ce qui m'a rendu si trempée. Je le lui dis. Il vérifie de ses doigts et les enfoncent. J'adore ça, quand il me pénètre pour la 1ère fois.
Je jouis dans un souffle rauque et il me fait goûter ces doigts.

mardi 30 août 2011

N°36


Qq minutes après.

Changement de préservatif (merci !)... et Paul pénètre mon antre trempé. Je crois que je suis tellement ouverte et ruisselante qu'il doit se perdre.
L'orgasme me surprend alors que, peu passionnée de la levrette, je ne m'y attends pas. Surtout que je me concentre sur mes mains agrippées aux draps tentant de resister aux assauts de mon amant.

Plus tard, je déguste, enfin, le sexe de Paul et il jouit entre mes fesses.

N°35


De retour chez moi. Dans mon lit. Minuit. Avec Paul. 

Pfffou... L'attente aura été longue. Nos retrouvailles sont tendres et douces. (...)
Quand Paul prend la boîte de préservatifs, c'est le message qu'à la tendresse va succéder un peu de sport.
"A 4 pattes". Je m'exécute avec un frisson qu'intensifie Paul en effleurant ma chatte trempée de ses doigts. Je sens mon sexe qui ruisselle, qui salive d'impatience. Mais Paul choisit d'entrer par l'autre porte, d'une saillie lente et profonde. Je suis toujours impressionnée qu'il ne me fasse pas mal en me sodomisant alors qu'il ne me "prépare" jamais.
Je jouis rapidement, les yeux plein de larmes.

dimanche 28 août 2011

N°34


Lendemain soir. Seule, dans mon lit.

Mes doigts s'activent dans mon intimité trempée alors que je m'imagine sodomisée par une femme.
C'est la rentrée : Mon prochain orgasme ne devrait pas être solitaire. :-)

N°33


Le lendemain. Seule, à mon bureau.

Les conversations MSN continuent à m'enflammer le bas-ventre. Ma main m'offre un plaisir rapide.

jeudi 25 août 2011

N°32

Milieu de journée. Seule, à mon bureau.

Après une semaine sans caresse ni orgasme, je m'attendais à ne pas voir mon désir se repointer avant mon retour à Paris et à mes amants.
Mais.... au détour d'une conversation Messenger, je croise Xavier, un homme extrémement dominant. Notre unique rencontre avait été extrémement hot.
En qq mots -que la morale m'interdit de recopier ici-, il me rend terriblement excitée. Je ne suis plus qu'un sexe trempé. Xavier m'ordonne de jouir ce que mes doigts obtiennent en quelques secondes.

mercredi 17 août 2011

N°31


Seule, dans mon lit de vacances. Au petit matin.

Je fais des rêves érotiques quasi toutes les nuits. Signe d'un manque ?
Moi qui croyais ne pas fantasmer sur les femmes, je viens de rêver deux nuits de suite que je faisais l'amour avec une femme. La 1ère était Kristin Scott Thomas. Ô monde merveilleurx des rêves !

Je prolonge la douceur de mes rêves par un orgasme léger et sensuel.

vendredi 12 août 2011

N°30

Mes nuits sont peuplés de rêves érotiques.
Seule ma main visite mon sexe affamé. L'orgasme rapide ne me nourrit pas.

N°28


Qq jours plus tard.
Même scénario. Mes orgasmes solitaires sont minables et tristes.

N°29


Idem.

Si je ne suce pas un homme trés vite, je vais sombrer, je crois.

N°27


Août. Seule, dans mon lit.

La maison et ses nombreux habitants sont endormis.
L'ordi sur les genoux, je matte des vidéos. Mes doigts s'agitent et je jouis sans quitter l'écran et cette femme violentée par plusieurs hommes en rut.

vendredi 29 juillet 2011

N°26

Un peu plus tard.

Je prends le temps de caresser mon sexe assoiffé. Gang bang, bondage, coups, soumission… les vidéos que j’ai choisies sont un vrai feu d’artifice. Je jouis longuement.

N°25

Fin-juillet. Seule, dans mon lit, en vacances.

15 jours sans caresses. J’en ai eu pourtant bien envie pendant toute cette semaine de vacances où j’ai partagé mon lit avec une amie.

Dans mon lit, les jambes écartées, je me suis préparée une série de vidéos BDSM. Rien qu’en les copiant, j’ai senti mon sexe se tendre, à m’en faire mal. Il m’a fallu patienter jusqu’au soir. Je jouis avant même la fin de la 1ère vidéo.

N°24

Une trop courte sieste plus tard. Même lieu. Même amant.

Je ne me souviens plus s’il me l’a demandé. Sur le dos, les cuisses écartées, mes doigts caressent mon sexe béant de ces plaisirs. Je sais qu’il aime me regarder me masturber. Je lui offre cette vue intime. Je pense être trop fatiguée pour jouir… Je m’obstine, pour lui. Avec succès.

N°23

Avec Paul. Une douche plus tard. Dans mon lit.

« Dans quel orifice ? » me demande-t-il ? Honteuse de l’incident technique qui nous a conduits sous la douche, je lui demande de ne pas m’enculer. A sa demande, je reprends ma lecture alors que sa queue s’active en moi. Mes mains s’agrippent au drap. (…)
Je suis assise sur lui, allongé. Sa 1ère gifle me coupe le souffle. Mon regard ne quitte pas ses yeux alors qu’il me gifle à nouveau. Encore. Ces claques m’électrisent. Mais pourquoi donc m’excitent-elles ainsi ? « Jouis, jouis » me dit-il. Mon orgasme explose.

N°22

Avec Paul. Dans l’après-midi. Dans mon salon. 

A genoux, essayant de me concentrer, je fais la lecture à Paul, selon ses ordes. Il tourne autour de moi, me frôle, me reprend lorsque je butte sur un mot. J’ai du mal à me concentrer lorsque je l’entends se déshabiller. Il me place, à 4 pattes, les coudes encadrant mon livre. « Continue ta lecture ». Je ne sais s’il a visité mon vagin avant de m’enculer, comme d’habitude sans m’y préparer. Il pénètre mon cul en une seule fois, non pas violemment mais fermement. Je feule sous la saillie.

N°21

Seule dans mon lit. Fin de matinée.
  Je me réveille épuisée de cette trop courte nuit, le sourire aux lèvres au souvenir de la soirée de la veille. Je me caresse dés mon réveil. Je jouis sans réel plaisir mais avec grande impatience.


N°20

Seule, dans mon lit. Fin de nuit. Mi-juillet. 

Après une longue fellation dans ma voiture, Paul m’a laissée trempée et assoiffée, trop fatigué pour prolonger cette superbe soirée. J’ai demandé, et obtenu, de pouvoir me caresser en attendant qu’il vienne me voir le lendemain.
Il est presque 5h du matin. Je jouis rapidement, les doigts trempés.

lundi 4 juillet 2011

N°19


Même amant. Même lieu. Qq minutes plus tard.

J'écarte mes fesses de mes deux mains et lui présente mon cul à pénétrer. Je sais qu'il aime voir ça.
Ses doigts s'y introduisent. Les miens rejoignent mon clito trempé. Mon corps se tend alors que nos doigts se font plus rapides et que je le supplie de continuer.

Je devrais l'appeler Victor-les-doigts-d'or !

N°18


Avec Victor. Dans mon salon. Fin d'après-midi.
Le sucer me fait toujours mouiller.
Ses doigts se font aventureux, indiscrets, vicieux.
Je m'allonge sur le dos et lui ouvre mes cuisses. Je connais son talent, je sais qu'il m'emmènera loin.
Ses doigts visitent mon vagin avec délice. Est-ce à ce moment là que j'ai joui ou lorsqu'il a griffé mon dos ?

jeudi 30 juin 2011

N°17

Même amant, même lieu, qq minutes plus tard.

J'adore ces moments où il prend un préservatif... J'adore ces moments où sa queue me pénètre, pour la 1ère fois. Je me sens emplie, pleine. (...)

Je suis couchée sur lui, son sexe dur me laisse qq instants de repos. Alors que je me redresse, je vois un éclair dans son regard. Sa main agrippe fermement mon cou, tâte ma jou. Je comprends ce qui va suivre... Les gifles, de plus en plus fortes, m'entraînent dans un autre monde.

Je ne sens que sa main sur ma joue chaude, sa queue dans mon sexe trempé. Je jouis, en criant.

N°16

Avec Paul. Dans mon lit. Minuit.

Les effets secondaires d'une fellation délicieuse : mon intimité toute douce est déjà dégoulinante.  Il y enfonce  un gode, tandis que sa langue me goûte. Récemment épilée, mes sensations sont décuplées : je sens sa langue, précise, habile. Je me prends à aimer ça... et à en jouir.

dimanche 26 juin 2011

N°15

Seule. Dans mon lit. Fin de grasse mat'.

Ce n'est pourtant pas le polar que je lis qui me donne envie de me caresser. Et pourtant...
J'accompagne mes caresses d'une image : Un homme me fait l'amour, en levrette, alors que je lèche sa femme.

Je me suis rarement caressée aussi fréquement. Je fais des provisions en prévision de l'été de disette sexuelle qui s'annonce.

jeudi 23 juin 2011

N°14

Avec Paul. Dans mon lit. Plus tard.

Il y a qq'chose de très excitant à se masturber avec un homme. De prendre sa main et de la guider vers son propre plaisir. "Ici, j'aime bien". De le regarder regarder. "Là aussi". De lui glisser à l'oreille qu'il va vous faire jouir. "Comme ça. Oui". Que s'il vous encule en même temps, c'est... Puis d'oublier que l'on est là pour lui apprendre son corps et s'abandonner au plaisir.

Je sens sa main chaude sur mon ventre pendant que je reprends mes esprits. Sa voix à mon oreille essayant doucement de calmer ma respiration.

N°13


Avec Paul. Dans ma salle de bains. Nuit tombante.
Elle n'est pourtant pas grande, cette salle de bains. Coincé entre le lave-linge et le lavabo bringuebalant, il refait connaissance avec mon corps. J'aimerais qu'il prenne son temps mais, déjà, il fouille partout et, de ses doigts pressés, pénètre mon intimité. Au lieu de me concentrer sur mon plaisir, je réfléchis où poser mes mains ailleurs que sur ce lavabo qui risque de me tomber sur les pieds... L'orgasme vient, puissant, surprenant et me laisse haletante. 
Pas le temps de reprendre mon souffle que sa queue trouve sa place dans ma bouche. Assise sur la balance, je le dévore, je me shoote à son odeur, je l'avale. J'adore son regard lorsqu'il jouit.
Cela fait 10 minutes que nous sommes entrés dans cette salle de bains, pour prendre une douche. Voilà qu'elle est bien méritée.

N°12


Seule. Dans mon lit. Tout juste réveillée.
Ai-je fait des rêves érotiques ? En tous cas, ma main glisse entre mes cuisses écartées avant même que je sois consciente... Je flotte encore dans les brumes du sommeil, je poursuis consciemment le rêve que les mains qui me caressent sont celles de Paul. Et sa bouche, et sa langue.
Il n'y a rien de mieux pour se réveiller.

lundi 20 juin 2011

N°11


Seule. dans mon lit. Avant de m'endormir.

C'est un cercle vicieux : écrire les orgasmes n°9 et 10 m'a excitée.... Et lorsque je sens mon intimité mouillée, je ne peux m'empêcher d'y mettre les doigts.

Dois-je m'inquiéter que, depuis quelques temps, mes fantasmes et mes expèriences sexuelles contiennent toujours un rapport avec la sodomie ?

dimanche 19 juin 2011

N°10


Même endroit, même amant. Un peu plus tard.

Marc fait partie de ceux qui ne se lassent pas de s’amuser avec un jouet lorsqu’ils en ont trouvé le mode d’emploi. Je sens qu’il est attiré, comme un aimant, par mon cul…
A 4 pattes, la tête enfouie dans les coussins, je lui offre la vue dont il rêve, mes mains écartant mes fesses. J’aime sentir qu’il admire, j’aime entendre ses mots, excité par mon indécence. Sa queue glisse en moi, mes doigts caressent mon intimité dégoulinante. Comme souvent ainsi, je jouis vite, trop vite pour laisser mon partenaire en profiter.

N°9


Avec Marc. Sur mon canapé. Milieu de nuit.

Entre ses mains, je ne suis plus qu’un animal. Un animal qui lèche, agrippe, mord, caresse, saisis, griffe, gémis. Je ne suis plus qu’un corps.  Un corps qui en désire un autre.
Ses dents sur mes seins m’amènent aux portes du plaisir. Sa queue est délicieuse à sucer. Pas trop épaisse, j’imagine déjà la sodomie à venir…
Alors que mes mains, indécentes, écartent mes fesses, il y plonge un doigt. Rapidement, je sens monter le plaisir. Il explose, comme un éclair. Mon corps est secoué longuement par le tonnerre. Il me faut de longues minutes pour retrouver mes esprits et une respiration normale.

jeudi 16 juin 2011

N°8


Au téléphone avec Sébastien. Dans mon lit. Fin de matinée.

Le seul homme qui ait vraiment réussi à me donner du plaisir au téléphone. Cela faisait des mois que nous n'avions pas parlé. La conversation dure, intéressante, excitante. Nous mêlons de graves réflexions aux récits de nos expèriences intimes. Une belle complicité !
Nue dans mon lit, ma main se fait balladeuse et caresse mon sexe trempé. Je le lui dis et il accompagne de ces mots la montée du désir. Les yeux fermés, je sens son regard sur mon intimité, son souffle sur mes cuisses. Les yeux fermés, lorsque l'orgasme vient, c'est une explosion de couleurs : du rouge, du violet. Je suis loin. Mais pas seule.

lundi 13 juin 2011

N°7


Seule. Dans mon bain.

Je me surprends souvent à avoir envie de me caresser alors que la douleur vrille mon ventre. Mystérieux mélange. Que vient faire le plaisir dans cette histoire ? Et pourtant....

mercredi 8 juin 2011

N°6


Toujours "Seule. Dans mon lit".

le N°5 avait un gout de "revenez-y"... alors j'y suis revenue.

N°5


Seule. Dans mon lit.

Les échanges éléctroniques de la soirée ont fait naître une boule de désir, dans mon bas-ventre. Comme une impression de vide, d'appel.
Une vidéo de soumission extrême que je suis incapable de vivre me propulse très loin.

N°4


Avec Paul. A 4 pattes sur la moquette de mon salon.

Je ne m'attendais pas du tout à sa venue ce soir. Un passage furtil m'a-t'il prévenue.
Je commence à reconnaitre ses habitudes : domination mélée de douceur, fermeté et tendresse.

Ses mains dans mes cheveux, sa queue dans ma bouche. Je le vois qui se laisse aller, j'imagine qu'il vole.
Soudainement : "tourne-toi". D'un seul coup, sa queue dans mon cul. Il me remplit. De sa main, il invite la mienne à me caresser. C'est tellement dur de retarder l'orgasme, ainsi.

Il jouit sur mon dos. Je sens des gouttes chaudes sur ma peau.

Alors qu'il est parti se laver, je peux laisser libre cours à mes larmes, comme souvent lorsque de la sodomie nait un orgasme.

lundi 6 juin 2011

N°3


Dans mon lit. Pas vraiment seule puisque Sophie est au bout du clavier.
Je ne croyais pas un jour jouir en fantasmant sur une femme.

Rien qu'à ses mots, je me liquéfie. Je suis inondée de désir. Je veux prendre le temps, ne pas jouir tout de suite. Je joue avec la ceinture de ma robe de chambre que je fais passer entre mes cuisses. Tout en poursuivant la conversation, je me frotte sur ce bout de tissu qui s'imbibe de cyprine.
Ce que j'aime dans la masturbation, c'est que je peux retenir mon plaisir, me maintenir sur la corde raide, prête à sombrer. Mes doigts jouent sur ces monts et vallées ruisselants.
Je cède alors que Sophie me raconte qu'elle jouira à la seule vue d'un homme en train de m'enculer, mon visage et mes cris entre ses cuisses.

mardi 31 mai 2011

N°2


Seule. Dans mon lit.

Après une journée qui ne sert à rien, un orgasme qui ne sert à rien. Rapide, sans imagination et sans réel plaisir.

dimanche 29 mai 2011

N°1


Seule. Dans mon lit.

Après 5 jours sans que quiconque, pas même moi, ne me caresse, je reprends possession de mon corps. Ses courbes, ses tours et détours.
Le plaisir vient vite, trop vite.