mardi 18 octobre 2011

N°54


Même endroit, quelques minutes après.

Le temps qu'il aille se laver les mains, j'ai repris mes esprits et me suis replacée, fesses tendues vers lui, me cambrant le plus possible (ô combien j'aimerais savoir me cambrer devantage !). Je ne sais plus dans quel ordre s'est passée la suite : il a revisité mon cul et je l'ai sucé. Ou l'inverse.

N°53

Sur mon canapé. Avec Paul. Minuit.
Est-ce le passage de la cinquantaine (d'orgasmes !) ? Libido à zéro pendant 15 jours !
Paul me rend visite, tard le soir : nous sommes tous les deux épuisés de fatigue et j'imagine que ce n'est pas ce soir que je vais briser ma cure de désintox' !
Pourtant... Je suis en jupe, bas et bottes. Il m'ordonne de lui présenter mon cul, le buste penché en avant, les genoux posés sur le bord du canapé. Du bout des doigts, il caresse mon sexe, avec une délicatesse trés excitante. Mes grandes lèvres sont à peine effleurées. Puis mon clitoris. Je sens mon sexe s'ouvrir et se tendre vers ses doigts. Je ruisselle lorsqu'il pénétre mon cul de ses doigts. S'en suit une longue, large et profonde visite... Je crois qu'il n'y avait jamais mis autant de doigt. Je le supplie de m'enculer (pourquoi dis-je ça alors qu'il a déjà la moitié de la main dans mon cul ?) avant de jouir en hurlant.

N°52

Avec Bruno. Dans son bureau. Après le déjeuner.

Je sais que Bruno veut que je le suce. Il sait que je n'en ai pas envie. Mais il est habile...
Il me caresse les cheveux, debout près du fauteuil où je suis assise. Son sexe sorti de son pantalon frôle ma tête renversée en arrière. "Montre moi tes seins" ; j'obéis. "Caresse-toi" ; j'obéis encore. Je baisse mon pantalon pour que ma main se faufile plus facilement dans ma culotte, les jambes posées sur le bureau. Et tourne la tête pour prendre son sexe dans ma bouche.
J'entends que l'on bouge dans les bureaux mitoyens. Cela ne m'empêche pas de jouir, quelques minutes avant Bruno.




N°51


Courte visite de Paul, un matin.

Nous discutons sur mon canapé, en buvant une tasse de thé.
Il me demande de m'asseoir par terre, face à lui, et de me caresser. Tout en poursuivant notre conversation. Difficile de se concentrer sur deux choses en même temps. Ma caresse est plus mécanique qu'agréable.
Puis, je le sens excité par ce qu'il voit, mes doigts dans mon intimité. Moi qui ne me pensais pas exhibitionniste, je prends du plaisir à voir qu'il trouve le sien à me regarder. Je m'allonge, toujours face à lui, écarte les cuisses et accélère le rythme de mes caresses.
Les yeux fermés, je ne réalise pas qu'il s'est levé, qu'il est allé chercher mon rosebud dans sa cachette... Je sens juste qu'il l'introduit en moi et joue avec. Je jouis longuement, en me cabrant.