lundi 30 janvier 2012

Bientôt le n°100

J'avais rater le 69, je vais essayer de solenniser le n°100...
Je pensais faire un tour dans un repaire de voyeur et m'exhiber avec un amant mais je crains un peu de ne tomber que sur des situations assez glauques...

Avez-vous des idées ?


N°90


Qq minutes après.

J'adore le regarder se branler. Sa queue et sa main se découpent dans le clair-obscur de ma chambre, c'est irréel et bien présent en même temps. Ma langue, ma bouche, mes mains virevoltent sur sa queue pendant que Victor me raconte des cochoneries à l'oreille.
Puis, c'est à son tour de s'occuper de moi. Ses doigts se font pinçants sur mes tétons, ils les tournent, les pincent, les tirent. Plaisir et douleur s'emmêlent avec délice. Ses mains pétrissent mes épaules, mon cou, ma gorge. Je voudrais qu'il sère encore plus.
Mon corps se tend à se rompre, mon ventre se contracte, mon souffle s'accélère, mes joues rougissent et je jouis en criant.



N°89


Dans mon lit. Tard dans la nuit. Avec Victor.

Emboîtée contre son dos, je ne peux m'empêcher de glisser ma main sur sa queue endormie. J'adore la réveiller et la sentir, peu à peu, grossir entre mes doigts. L'entendre gémir.
Une main et ma bouche s'occupent de sa queue, l'autre de mon sexe trempé. Je jouis rapidement, petitement.

N°87


Au matin. Avec Victor.

Victor surgit du sommeil, précédé de sa queue tendue. Cela fait longtemps que je n'avais pas passé une nuit avec un amant et j'avais un peu oublié cette faim dés le matin. J'aime tenir sa queue dans ma main, y entourer mes doigts, avec douceur et fermeté. La découvrir vivante, palpitante de désir, chaude, douce. Je ne me lasse pas de la caresser, de la sucer, de la déguster.
Alors que je suis agenouillée au dessus de lui, sa queue allant et venant dans ma bouche, Victor sort ses ongles pour griffer mon dos. Je gémis en coulant (à moins que je coule en gémissant). Plus je le suce, plus ses ongles lacèrent mon dos, plus je suis excitée.
Alors qu'il pétrit mes épaules et mon cou, ma main descend entre mes cuisses et m'offre un orgasme.

N°86


Dans mon lit. Avec Victor.

Je ne me lasse pas de le sucer, encore et encore, de jouer avec son sexe tendu, de goûter, d'aspirer, de lécher... Une vraie affamée. J'aime quand il me tourne sur le dos, qu'il place un coussin sous ma tête et qu'il me baise la bouche. Profondément. J'étouffe, je bave, j'ai mal au cou... Je suis excitée par cette position, j'aimerais pouvoir nous voir dans un miroir.
Quelques secondes après qu'il ait joui, je glisse ma main sur ma chatte, les cuisses complètement écartées. Victor sert mes tétons avec force et j'explose en criant. Je n'en peux plus de ruisseler.

N°85, 88 et 91


Seule dans mon lit.

La seule lecture de textes érotiques me met dans un état avancé d'excitation. Mes grands fantasmes récurents ne sont jamais loin : soumission, sodomie... Depuis quelques temps, on y voit apparaitre des femmes -sodomites et dominantes !
A chaque fois, je suis surprise d'être autant trempée. J'apprends petit à petit à patienter et à prendre le temps de laisser monter lentement le plaisir au lieu de me précipiter sur l'orgasme. C'est tellement bon !

samedi 21 janvier 2012

N°84

Seule. Dans mon lit. Samedi matin.

J'ai rêvé de Paul. J'en ai marre qu'il soit absent, injoignable. Qu'il me laisse en fusion et vienne si peu se réchuaffer à mon corps brûlant.
Je lui offre quand même de participer à mon orgasme du matin : dans mon rêve éveillé, il sera assis sur un fauteuil, me regardant en train de faire l'amour à une autre femme. Je nous imagine, cul par dessus tête. Je joue avec ses seins, les caresse, les étreins, les lèche, les suce, les mordille... Je jouis alors qu'elle me lèche l'anus et et que je plante mon regard dans celui de mon amant.   

N°83

Seule. Dans mon lit. Vendredi soir.

J'ai retrouvé avec plaisir un site de textes érotiques qui m'a offert de nombreux orgasmes. Je me concentre sur une série de textes : il y est question d'un maître et de sa soumise, sa chienne, sa petgirl. Je suis trempée. Je me fais la réflexion que je suis particulièrement trempée ces derniers jours. Est-ce le retour de Paul ? Est-ce l'approche de mes p$*µ?% de règles ?
Ma main visite mon sexe, comme si c'était la 1ère fois. Je lui fais faire le tour du propriétaire. Là, ce sont mes lèvres gorgées de sang. Là, mon clitoris gonflé. Là, mon vagin, grotte chaude et accueillante, ruisselante. Là, mmmm, c'est mon petit trou serré. Si tu étales ma cyprine sur sa corrole et que tu en caresses doucement le contour, du bout des doigts, je vais commencer à gémir, à me tordre de désir. Voilà, comme ça. Ne t'arrête pas, ma main, c'est tellement délicieux. Je coule de plaisir rien qu'avec cette caresse. Fais moi jouir comme ça, juste en étalant mon excitation sur mon anus qui s'ouvre.  




N°82

Jeudi pour la sieste. Avec Simon.

Celui-là, je ne sais pas quoi en penser.
Je n'arrive pas à l'écrire.












N°81

Seule. Sur mon canapé. Mercredi après-midi.

C'est l'heure de la sieste. Je quitte ma jupe et mon collant et me glisse sous une couette, sur mon canapé. Mon ordinateur diffuse une douce musique. Ma main se glisse entre mes cuisses sans que mon cerveau ne le lui demande.
Les yeux clôs, j'imagine qu'une femme est allongée contre moi. Enlacées, nous nous caressons, tendrement. Nos jambes emmêlées frôlent nos sexes, s'y appuient. Je goûte ses lèvres, sa langue, sa peau, son cou. J'aspire sa salive, son souffle, ses cheveux. Je jouis quand mon rêve me dit à l'oreille qu'elle va me prendre comme le mérite la douce salope que je suis.

N°80

Seule. Dans mon lit. Mardi soir.

Comme souvent, la lecture de mes blogs habituels m'a donné chaud. Je sens mon intimité mouillée. J'y descends ma main... pour vérifier. Simple curiosité intellectuelle ;-) J'y trouve un bouillonement de lave... C'est le Vésuve sous ma couette. Je n'ai d'autres choix que de me caresser jusqu'à l'éruption.




lundi 16 janvier 2012

N°79

Ce matin. Dans mon lit.

Je viens d'écrire les numéros 76, 77 et 78. Avant même d'avoir fini le premier, je sens que mon sexe est trempé. Au milieu de l'écriture du n°78, je n'y tiens plus : je lâche mon clavier et me fais jouir.

N°78

Le soir. Avec Paul.

Il me rend une visite surprise. Je ne l'ai pas vu depuis un mois. Je ne sais pas très bien si nous sommes toujours amants. Je vais vite le savoir.
Paul est à peine arrivé qu'il m'attire vers lui, en m'agrippant par le cou. Fermeté et tendresse. Ce gars me fait littéralement fondre. Je retrouve son odeur, ses larges mains sur mon cou, dans mes cheveux. Il m'arrache presque mes vêtements, je suis torse nu, en jean. Il m'oblige à me pencher, les seins contre le froid d'une commode. Il plante ses ongles dans mon dos, ses mains enserrent mon cou, pétrissent mes épaules. Je ne suis que frissons et je crois que le froid n'y est pour rien. Je sens contre mes fesses, à travers son jean et le mien, sa queue durcie.
Un détour par la salle de bains pour que je lui lave les mains, petit jeu que nous avons gardé des nos envies de relations de domination/soumission. "Descends ton jean". "Et ta culotte". Je suis nue, dans la salle de bains glacée. Il m'oblige à pencher mon corps, écarte mes jambes, place mes mains sur la baignoire, dos à la porte. "Ne bouge pas" dit-il en sortant de la pièce. "J'ai dit ne bouge pas". Il est placé à 2 mètres derrière moi, je ne vois qu'un bout de chaussure à travers mes jambes. Je reste sans bouger, au moins 5 longues minutes. Il prend qq photos, toujours en silence.
Paul me donne enfin le droit de m'assoir, sur la baignoire. Quand je dis qu'elle est gelée, il me répète de m'assoir. Nous discutons ainsi, ma tête posée contre son torse, ses mains jouant tendrement dans mes cheveux. Puis, alors que nous parlons de mon boulot : "écarte les cuisses et fais toi jouir".
Toujours assise sur la baignoire, je caresse mon clitoris trempée. Ma cyprine s'est répandue sur le haut de mes cuisses, sur mon anus. Paul sort sa queue, se branle contre mes seins, pendant que, de l'autre main, il pince mes tétons enflammés. Je jouis en criant.
Il me fait assoir plus bas, sur le sol, pour que je puisse le sucer. Je me régale de sa queue. Mes yeux plantés dans les siens, je voudrais lui dire que je suis sa chienne mais je n'ose pas. Il jouit en éjaculant sur mes seins.
"Va te mettre un truc chaud, tu es frigorifée".

N°77

Dimanche matin. Seule dans mon lit.

J'ai rêvé qu'un homme me sodomisait, à 4 pattes, pendant qu'une femme (la sienne ?), nous regardait, assise sur un large fauteuil, les jambes écartées sur les accoudoirs, se masturbant. Quand je me suis réveillée, je n'ai eu qu'une envie : me rendormir pour retrouver mon rêve ! Dans le flou cotoneux du réveil, sous la chaleur de la couette, ma main a rejoint mon sexe alors que, sous mes yeux fermés, j'imaginais une suite : dans la même position que dans mon rêve, monsieur me sodomise alors que je lèche madame. Ou plutôt je tends ma langue vers son sexe béant et les coups de queue de monsieur dans mon cul rythme mes coups de langue. Je jouis sans tarder.

N°76

Même amant. Même lieu. Le lendemain.

Je l'ai tellement sucé la veille que ma lèvre supérieure en porte encore la marque. J'ai passé la journée à la caresser avec ma langue. Victor m'a précédée au lit. Son corps est tout chaud, tout doux : c'est très agréable de le caresser. Je prends son sexe au repos dans ma bouche : j'aime sentir sa queue gonfler, la sentir vivante. (...) Comme hier, le sucer m'a beaucoup excitée. Mon sexe ruisselle. Mon clitoris est gonflé et mes lèvres gorgées de sang. Pendant que mes doigts s'activent entre mes cuisses écartées, Victor s'occupe du haut de mon corps : mes seins, mon cou, mes épaules, mes cheveux.
Il pince les uns, sert l'autre, tire les derniers. Je gémis, emportée par la violence qu'il m'offre. J'aime ça, ma tête est balladée entre ses mains, les miennes s'activant sur mon clitoris en feu. L'orgasme explose.




N°75

Minuit. Avec Victor. Dans mon lit.

Cela fait longtemps que je n'ai pas eu d'amant dans mon lit. Mon canapé gris a souvent ma préférence. Les caresses commencent au salon : changer de pièce a tendance à couper l'action, cela a qq'chose , pour moi, de ne pas naturel.
Victor me rejoint dans mon lit, nu comme un ver. Je sens son sexe qui se durcit contre ma cuisse. J'aime la peau douce et chaude de sa queue. Elle réagit à mes caresses, tressaute quand mes doigts l'effleurent, se tend encore plus.
Je ne tarde pas à m'enfoncer sous la couette pour prendre mon amant en bouche. Je joue avec ma langue, avec ma bouche. Je me délecte de sa queue. Parfois Victor gémit ou soupire. J'aime quand il met sa main sur ma nuque pour accompagner mes mouvements de va-et-vient. 
Il se met à 4 pattes, moi toujours allongée, me baisant la bouche. On dirait un chien et je trouve ça terriblement excitant. Mon sexe ruisselle. Son petit cul tendu par sa position me donne très envie d'y mettre un doigt, puis deux.
Le voici de nouveau sur le dos, moi entre ses jambes continuant à la sucer. Ses mains parcourent mon corps, ses ongles griffent mon dos, j'adore ça. Douleur et plaisir. Plaisir et douleur. Mes tétons sont pincés, tirés, tournés, malmenés. Je gémis, mon souffle s'accélère, mon sexe coule. Douleur et plaisir. Plaisir et douleur. Je frotte mon entrejambe contre sa cuisse et suis tout près de jouir ainsi quand son orgasme explose.
Je suis très excitée par cette longue et délicieuse fellation. Sur le dos, j'écarte les cuisses et plonge ma main. Je suis trempée, mon sexe est un magma de cyprine. Victor continue à torturer mes tétons. J'ai l'impression d'être parcourue de décharges élèctriques. Je me cambre, en jouissant.




samedi 7 janvier 2012

N°74

Qq heures plus tard. Sur le même canapé. Toujours seule.

Difficile soirée. Le moral au fond des chaussetes, un film qui me fout le blues. Me voilà en larmes.
Je me calme, ouvre un site où je sais trouver des vidéos X qui me plaisent. Une, puis deux, puis... Je suis excitée mais le plaisir se fait attendre. Je le sens tout près mais...
Quand il arrive enfin, je me dis que je devrais apprendre à être patiente car le plaisir qui se fait attendre est souvent meilleur.

N°73


Seule. Vendredi soir. Sur mon canapé.

En lisant le blog de Tomas, je ne peux m'empêcher de me caresser... et de jouir.

vendredi 6 janvier 2012

N°72


Au matin du 1er janvier. Seule, dans mon lit.

Le matin du 1er janvier commence vers 11h... C'est le genre de matin où un amoureux me manque, un qui me caresse doucement pour me réveiller, un qui me glisse des mots doux à l'oreille, entrecoupés de cochoneries pour m'émoustiller...
Mon otpimisime l'emporte. A défaut d'un amoureux dans mon lit, je me dis que je vais fêter l'arrivée de 2012 par un orgasme... Je repense aux dernières rencontres avec mes amants... Deux souvenir très diffèrents me vrillent le ventre : les gifles de Sacha, le cul de Victor que j'encule...
Je pense aussi à Sophie : notre baiser ressemblait à la promesse de très belles caresses. Je me concentre sur elle, sur nos éventuels jeux futurs. J'imagine le plaisir que je prendrais à me soumettre à cette femme... Je jouis les yeux fermés, l'image de Sophie me sodomisant derrière les paupières.


N°71

Sur mon très cher canapé noir. Seule.

Je ne peux parcourir ma liste de blog sans sentir ma culotte s'humidifier. L'humeur est au batifolage... Je passe ma mains sous ma jupe et caresse mon sexe. Une main fait défiler les pages des blogs, l'autre entreprend une visite appronfondie de mon intimité. Je me prends à imaginer qu'un amant me regarde, la queue dressée hors de son pantalon, qu'il a les yeux rivés sur mes cuisses écartées alors que sa main enserre son membre durci de désir. Lâchant mon clavier, j'écarte mes fesses pour que mon amant imaginaire puisse contempler mon petit trou dans lequel je glisse un doigt. L'orgasme explose, puissant et profond.

Et voilà. Rien qu'à écrire ces mots, je sens le désir glisser en moi.

N°70


Sans Victor même si c'est grâce à lui que je suis trempée. Chez moi. Fin d'après-midi.

Victor a claqué la porte depuis qq minutes. Je suis sur mon canapé, les cuisses écartées, le sexe ruisselant. L'orgasme est sur le bout de mes doigts. Je ferme les yeux, pose ma main sur mon intimité trempée et me revois en train de sodomiser mon amant avec un gode ceinture en le traitant de "petite salope". La vie nous réserve de drôle de surprise. Je jouis en me cambrant.