dimanche 6 octobre 2013

N°130




Fin de matinée plaisir. Chez et avec Jeanne.


Nous sommes toutes les deux alanguies sur le canapé, discutant. Je me suis placée de telle manière que ses pieds soient à portées de ma bouche. Cela fait plusieurs jours que j'ai envie de ses pieds, de les lécher, de les masser. Je commence par les caresser distraitement, puis ma bouche se rapproche, Jeanne peut sentir mon souffle, la conversation devient haletante : j'aime quand s'installe ce silence, arc tendu de désir, entrecoupé de soupirs, de mots
Je lèche maintenant ses orteils, les gobe un à un, les suce. Ma langue visite chaque contour, chaque repli. Mon cerveau est déconnecté depuis longtemps, je me sens animal. Les soupirs et gémissements de Jeanne sont terriblement excitants. Je sens que, petit à petit, ma chatte s'humidifie, se mouille, ruisselle. Je le fais constater à Jeanne en collant son pied contre mon intimité. J'adore son soupir d'excitation quand elle sent combien je ruisselle. Je frotte son pied contre mon clito qui ne demande que ça. Je mouille son talon, son cou-de-pied. Jeanne a mis sa main dans son pantalon et je vois ses doigts jouer avec son clito. Je me tourne afin qu'elle puisse voir mon sexe ouvert et dégoulinant, mes doigts ayant remplacé son pied qui, lui, a retrouvé sa place dans ma bouche. Je lèche ma mouille sur son pied. "Jouis, jouis" me dit Jeanne. J'obéis en me cabrant.

samedi 28 septembre 2013

N°123


Même lieu. Même amante délicieuse. Une heure plus tard.

Une demi-heure de sommeil et nos corps se retrouvent l'un vers l'autre attirés. Aux tendres caresses succèdent de plus passionnées, de plus intimes. Je ne me lasse pas de lécher ses tétons, de les caresser, de les titiller. Je crois que je ne réalise pas encore.

Jeanne se frotte contre mon ventre. Ses seins sont à portée de mes mains, de ma bouche, hypnotisants. Je voudrais graver cette image dans ma tête. 
Elle est allongée sur moi, me couvrant de baisers. Nos peaux font connaissance. Sa main se faufile entre nous, explore ma chatte, la visite. Ses caresses se font plus précises, plus appuyées, plus rapides. J'explose sous des doigts. Mon corps est agité de soubresauts, longtemps.


N°122


A l'aube. Avec Jeanne. Dans son lit.

Paroles. (...)
Déclic. (...)

Mes mains parcourent sa peau à la découverte de son corps, inconnu et pourtant semblable au mien. Quand elle glisse sa langue entre mes lèvres, un spasme de désir secoue mon ventre. Je ne sais pas où donner de la tête ; sa bouche, son cou, ses seins ?
Mes doigts s'aventurent vers son intimité. Trempée. Je suis très excitée d'y plonger. Je voudrais tout caresser, tout toucher, tout prendre, tout lécher, tout sentir. État de grande confusion dans mon cerveau.
Mes doigts jouant avec sa chatte, je me caresse contre son tibia. Je le recouvre de ma cyprine. Je m'y frotte comme si la course du monde en dépendait. Elle étouffe mes gémissements quand je jouis.

N°121


Vendredi. Minuit. Avec Paul. 

Je dors déjà quand mon téléphone sonne : "Tu peux descendre, là ? - Putain... je dormais. -Arrête de jurer, enfile un truc et viens me rejoindre."
Arrivée en bas de mon immeuble, je constate que la panne d'électricité se poursuit. L'éclairage public n'a pas été rétabli dans quelques rues du quartier, il fait nuit noir. 
Nous nous câlinons, comme deux adolescents dans la cour du collège. Des baisers, des mains qui se baladent, des souffles qui s'accélèrent. Je suis à peine habillée : mes seins, mon ventre, mes fesses sont à portée, la nuit permet toutes les folies. 

Paul m'attire vers un profond renfoncement de porte. Il retire mon tee-shirt, déboutonne sa braguette et me fait m'accroupir, face à son sexe dressé. Je le prends en bouche, le dos appuyé contre le mur de la boulangerie. Parfois, une voiture illumine la rue de ses phares. Paul se fige, espérant me cacher de son ombre. (...)

Le goût de son foutre dans la bouche, je me relève et l'embrasse. Je sais qu'il adore ça. Nos langues dansent. Il déboutonne mon jean et glisse sa main contre ma chatte, trempée, ruisselante. Il y enfonce ses doigts, me fait les lécher, étale ma mouille partout, retourne à la source. J'entends des voix à l'angle de la rue. Mon plaisir explose sous ses doigts alors qu'il contient mes cris de son autre main.

vendredi 13 septembre 2013

N°120


Sur mon canapé. Seule.

Je sens que je ruisselle. Entre l'écriture des n°118 et n°119, je m'offre une pause. 
Rapide. Explosive.


N°119


Avec Victor. Dans mon lit. 

Nous nous préparons à dormir. Nue, je sens sa queue contre mes fesses, contre mon dos. Il me caresse avec, doucement, et elle gonfle contre moi. J'aime sentir sa queue durcir. 
Je me retourne, m’engouffre sous la couette et la prends dans ma bouche. Cela fait si longtemps. (...)

Il laboure mon dos de ses ongles, pince mes seins, pétrit mes épaules, gifle mes joues. Je gémis, je râle, je lutte, je geins. Son pieds s'est glissé entre mes cuisses et par je ne sais quel prodige, son pouce s'est fiché dans mon fondement et m'encule. Mes doigts s'affolent sur mon clitoris en feu, ma respiration s'accélèrent. Je jouis dans un cri.

mercredi 4 septembre 2013

N°118


Qq secondes après.

Je n’ai pas le temps de savourer mon plaisir qu’il m’attire à lui, m’enfonce sa queue dans la bouche et se répand au fond de ma gorge.

Pause. Suis HS. Je lèche mon plaisir sur son pied.

Bien que je pense ne pas pouvoir jouir à nouveau, j’obéis à sa demande de reprendre ma position de sale cabot, les cuisses bien écartées contre son pied, y frottant ma chatte trempée. J’ai mal aux genoux, irrités par la moquette. Je me sens terriblement femelle, assoiffée. Il me parle, me dit que je suis une chienne. Est-ce à ce moment-là que j’ai joui ?

N°117


Lundi tea time. Dans mon salon. Avec Cyril.

J'appréhende un peu cette rencontre tout en étant très excitée à l'avance. Les pratiques de Cyril m'ont l'air bien plus hard que les miennes et je crains de ne pas être à la hauteur. Je suis déjà trempée lorsqu'il sonne à la porte et ne porte pas de culottes sous ma robe. (...)

Alors que je suis par terre, les cuisses écartées, les doigts jouant avec ma chatte trempée, il s'allonge sur moi et enfonce sa queue dans ma bouche. Elle est bien là, présente, elle prend toute la place, elle m'empêche de respirer. (…)

Il est assis sur mon canapé, nu, sa queue fièrement dressée. « Venez ». Je monte et m’empale sur lui très lentement. Je sens sa queue m’écarter, m’ouvrir, me remplir, me prendre. Il me fait mal mais je sens une vague dans mon ventre. Alors que je suis proche de basculer dans le plaisir : "Vous ne jouissez pas. Pas maintenant. Pas sans ma permission". (…...)

Je suis nue, plugée, à quatre pattes devant lui, des traces de fouet sur les fesses, la marque de sa queue dans ma bouche, la chatte ruisselante. Mon cerveau est out. Quand il me demande de me caresser sur son mollet, je deviens animale. Je ne suis plus qu’une chienne se frottant contre son maître. Je frotte mon clito contre sa jambe, le plug vient appuyer contre son pied à chaque mouvement. Je sais que je vais jouir comme ça. Je serre encore plus sa jambe, râlant, gémissant. Sa queue est trop loin, je suce ses doigts, remplie. J’explose.

mardi 27 août 2013

N°115 et 116


Samedi fin de matinée. Dans mon lit. Seule.

Je viens d'écrire quelques articles sur mon blog, dans mon lit. Et ma chatte est trempée. Je sens qu'elle coule.
Après une nuit de déchirure avec mon amant chéri, je ne comprends pas comment mon corps peut s'exciter quand mon cœur a mal. 

Je pense à Cyril que je verrai lundi. Mes mains s'aventurent entre mes cuisses.
Je jouis deux fois, à quelques minutes d'écart.


 

lundi 26 août 2013

N°114


Dans la nuit de vendredi. Chambre 702. Avec Paul.

Retrouvailles houleuses, notre dernière rencontre était médiocre, je râle. 
Je n'ai pas envie de lui, je le lui dis. 

Il me caresse, j'adore ses baisers, ses mains partout. 
Nous nous endormons.

Je suis réveillée vers 3h par ses mains sur moi, entre mes cuisses, sur mes seins, ses lèvres qui cherchent les miennes. Ses doigts dans mon intimité se font précis, il fait le tour de mon clito, visite les plis et les replis, augmente le rythme. Mon souffle accélère, je me perds dans mes cheveux. Je jouis sous ses doigts et j'adore ça.

dimanche 25 août 2013

N°113


Dans mon lit. Seule. Jeudi en rentrant du bureau.

J'ai déjeuné avec Cyril. Bien qu'il m'ait demandé de lui donner ma culotte pendant le déjeuner et que je ne l'ai remise qu'en arrivant au bureau, elle a été trempée de mon excitation. 
Tout l'après-midi, j'ai attendu de rentrer chez moi pour pouvoir me caresser.

Je suis nue allongée sur mon lit, ma culotte posée près de mon visage. Je m'enivre de mon odeur sucrée. Je n'ai même pas besoin de vidéos pour m'exciter. 
Je veux plus que mes doigts sur mon clito. Je mouille mon gode et m'encule lentement avec. Je jouis de longs spasmes.

samedi 24 août 2013

N°112


Dans mon lit. Avant que tout le monde ne se lève. Seule.

Je suis d'ordinaire plutôt attirée par des hommes plus âgés que moi, les quinquas, surtout passé la moitié de la dizaine, ont ma préférence. 
Mon sport favori, sur la plage, est de mater. Les hommes, les femmes.Là, je me suis surprise à regarder un adolescent : déjà très homme dans son visage et surtout dans son torse très harmonieusement musclé. Derrière mes lunettes de soleil, j'ai longuement observé ses muscles, son mouvement, son petit cul.
Une fois dans mon lit, je laisse mon esprit imaginer que nous nous croisons, ce pourrait être le fils d'amis. Je nous imagine nous regarder, nous observer, nous renifler. Puis très vite, nous sommes nus l'un contre l'autre. Il me dit qu'il ne sait pas, qu'il n'ose pas. Je l'allonge sur le lit et me glisse entre ses jambes, prends dans ma bouche son sexe arrogant. Il ferme les yeux. J'essaie de ne pas aller trop vite. Puis il me retourne contre le lit et m'écarte les cuisses. Je sens sa fierté de me prendre. 
Dans mon rêve, je sens son corps sur moi, je sens sa queue ouvrir mon ventre. Je jouis, les yeux fermés.

N°111


Dans mon lit. Vacances entre amis. Après-midi. 

Fenêtre ouverte sur le jardin, j'émerge doucement de ma sieste. J'entends mes amis parler, sur la terrasse. 
Il n'y a pas internet dans cette maison, je farfouille dans mon smartphone à la recherche d'une vidéo porno qui y traînerait. Trouvée. 
Je mouille mon doigt et le colle sur mon clito endormi. Doucement, je joue avec. La vidéo fait son effet. Le cerveau entre en ébullition. J'entends mes amis en bas. J'explose en gémissant doucement.



N°108, 109, 110


Presque tous les matins, après avoir pris le petit-déjeuner en famille, je remonte dans ma chambre et me glisse dans mon lit. Et je me caresse, en regardant des vidéos. Après les hommes qui s'enculent, je suis passée aux femmes qui dominent une autre femme.

mercredi 21 août 2013

N°107


Une heure après. Même endroit.

Le petit déjeuner avalé, je me glisse à nouveau dans mon lit, décidée à reconvoquer le plaisir au bout de mes doigts. 
Avant (avant quoi ?), les relations sexuelles entre hommes ne m'excitaient pas du tout. Mais, depuis qq temps, je me mets à zieuter du côté des vidéos Gays. Je zappe les fellations, j'adore autant les faire que cela ne m'excite pas de les regarder. J'arrive sur la vidéo de deux hommes s'enfilant joyeusement, ma main est frénétique.
C'est lorsque l'un a traité l'autre de petite pute que j'ai craqué.


N°106


Dans mon lit de jeune fille dans la maison familiale. Première matinée de vacances. Seule.

La maison est vide et silencieuse. Fenêtre grande ouverte sur la campagne. Nue dans mon lit, l'air frais court sur ma peau. C'est délicieux. 
Depuis plusieurs jours, j'entretiens une correspondance à haut potentiel d'excitation. Je ne peux lire un mail de Cyril sans mouiller ma culotte. Nous devons nous voir à mon retour de vacances, il va m'être difficile de patienter. Il m'a envoyé des photos, son sexe dressé est un appel à la fellation. 
Mon ordinateur posé sur mon lit, je laisse défiler les photos, mes mains caressant ma peau toute douce. Les yeux rivés sur mon écran, la bouche à demi-ouverte, j'imagine que je joue avec sa queue. Mes mains la caressent, ma langue s'y aventure. 
Ma main rejoint mes cuisses écartées, un doigt indique à ma cyprine le chemin de l'obscure caverne. J'adore caresser l'endroit magique, entre la vulve et l'anus (Je ne sais pas ce nom... Tiens, je vais lui en chercher un), c'est un régal. Pour une fois, je prolonge ce moment, je sais que je tiens l'orgasme au bout de mes doigts, je le laisse monter, tout doucement puis exploser. Mon clitoris me fait mal.


samedi 3 août 2013

N°105


Qq minutes plus tard. Dans mon salon.

Y'a comme une tension entre nous. Un malaise. Pas l'attirance magnétique habituelle. J'ai envie qu'il parte.
Il reste là, assis. Je suis allongée par terre. Mes mains jouent entre mes cuisses écartées, je me place face à lui pour lui faire profiter de la vue, je sais qu'il adore me voir me caresser.
Il se lève, se place entre mes jambes, sors son sexe déjà tendu et se masturbe. "Je vais éjaculer sur toi". Je retrouve le sourire...
 "Qu'est-ce que je gagne si je jouis en premier ? 
- Tu veux quoi ?  
- Une nuit avec vous.
- C'est trop pour un simple orgasme.
- Un bâillon.
- OK".

Je suis une petite joueuse. J'ai mérité mon cadeau. 



N°104


Chez moi. Mardi minuit. Avec Paul.

En un an et demi d'absence de ce blog, notre relation a connu une looonnngue pause puis des retrouvailles magnétiques. Toujours aussi compliqué de se voir et d'anticiper.

Ce soir, il doit arriver à 23h et essaie d'attiser mon attente. Texto n°1 : "Une jupe très courte et des talons". Texto n°2 : "Prépare un gode..." et n°3 : "... et une capote". Texto n°4 : "Je vais te gifler et t'enculer. Je ne sais pas encore dans quel ordre". Mauvais timing : je ne suis pas du tout dedans, avachie sur mon canapé à rattraper mon retard de séries !

Il arrive enfin, boit un verre tout en me faisant sucer le gode que j'ai préparé, vérifie parfois l'humidité de mon intimité. Puis me pénètre avec le gode, m'emmène dans ma chambre, m'enfonce un bas dans la bouche (mais pourquoi ai-je réclamé un bâillon ?), installe la capote sur sa queue et s'évertue (quoique la référence à la vertu me paraisse incongrue) à me sodomiser. Sans préparation, sans lubrifiant. Mon petit trou refuse mais Paul insiste. ça fait mal, c'est désagréable mais je ne dis rien. 
Une fois qu'il est au fond, je mets mes doigts sur mon clito. Trempé, gonflé. Mais comment c'est possible alors que j'ai mal ? Je fais jouer mes doigts rapidement et jouis, pour me débarrasser de ce pieu dans mon fondement.


mardi 30 juillet 2013

N°103


Même lieu. Même amant.

Mon cerveau et mon corps gisent sur mon lit. HS. J'ai envie que Luc me laisse ainsi.
Mais pourquoi les hommes sont-ils insatiables du plaisir de leur amante ? Il revient à la charge, je ne sais plus bien comment, mon cerveau étant posé au bord du lit, hors d'état. 
Je crois qu'il était question d'un mélange de con, de langue, de queue, de cul, de doigts. Mais j'avoue ne plus très bien me souvenir. 
J'ai eu le tort de dire que je ne jouirai plus ce soir. Luc a pris ça comme un défi. Et il a gagné.

N°102


Dans mon lit. Qq minutes après.

Est-ce la vieillerie déjà qui me guette ? J'accuse le coup de ce premier orgasme. J'ai du mal à revenir dans la course. 
Luc, lui, est bien présent, sa queue à l'étroit dans son boxer. Je la découvre, fais sa connaissance, la suce avec délice. Nous changeons de pièce pour rejoindre ma chambre et il en profite pour enfiler une capote. 
Ses mains, sa langue, il visite encore mon intimité. Je le supplie de me prendre, je le veux en moi. Tellement longtemps que je n'ai pas eu une queue d'homme en moi. Lorsqu'il me pénètre, je crois renaître. Il est allongé sur moi, la tête dans mon cou, ses gémissements dans mon oreille. J'adore l'entendre jouir.
Je lui laisse qq minutes pour profiter et attire sa main entre mes jambes. Je ruisselle, j'en ai plein le haut des cuisses et Luc n'a pas de mal à mouiller mon petit trou pour y enfoncer son doigt. "Plus profond ? - Oui. Et plus vite". 
Je jouis en me cambrant et me demande si je ne vais pas mourir un jour de ces orgasmes ravageurs.






N°101


Cela fait des années, trois peut-être, que je ne suis pas allée chasser.

Là, j'ai trop faim. Mon bas-ventre surtout. Je me connecte sur un site inconnu. Inscrite à 15h, je fais un peu de tri et et dégote un mec intéressant (càd avec un cerveau) à 16h, commence une discussion puis lui fixe un RDV à 17h. Je dîne avec lui à 20h et le mets dans mon lit à 22h. Direct, efficace.

***

Sur mon canapé. Lundi 22h. Avec Luc.

Le temps de lui servir un verre, je ne porte plus ni robe, ni soutien-gorge. Juste un simple string noir. Trempé. Nous nous chauffons depuis plusieurs heures, mon cerveau est en ébullition, mon entrejambe aussi.
Sa bouche qui fouille la mienne, sans hésiter. Ses dents qui pincent mes tétons. "Vous aimez ?", mes gémissements répondent à ma place. Ses doigts qui écartent mes cuisses et s'enfoncent dans mon intimité ruisselante. Je sens une onde vibrer dans mon ventre. Ma raison me commande de ne pas jouir si vite mais il m'est impossible d'obéir. L'orgasme me submerge.



30 juillet 2013 - Parenthèse


Ce n'est pas que je n'ai pas joui en 547 jours mais que je n'avais pas envie de partager mes orgasmes. 
Fin de la parenthèse. 

Happy. Exciting.

Du coup, je reprends mon compteur. Au n°101.