samedi 28 septembre 2013

N°123


Même lieu. Même amante délicieuse. Une heure plus tard.

Une demi-heure de sommeil et nos corps se retrouvent l'un vers l'autre attirés. Aux tendres caresses succèdent de plus passionnées, de plus intimes. Je ne me lasse pas de lécher ses tétons, de les caresser, de les titiller. Je crois que je ne réalise pas encore.

Jeanne se frotte contre mon ventre. Ses seins sont à portée de mes mains, de ma bouche, hypnotisants. Je voudrais graver cette image dans ma tête. 
Elle est allongée sur moi, me couvrant de baisers. Nos peaux font connaissance. Sa main se faufile entre nous, explore ma chatte, la visite. Ses caresses se font plus précises, plus appuyées, plus rapides. J'explose sous des doigts. Mon corps est agité de soubresauts, longtemps.


N°122


A l'aube. Avec Jeanne. Dans son lit.

Paroles. (...)
Déclic. (...)

Mes mains parcourent sa peau à la découverte de son corps, inconnu et pourtant semblable au mien. Quand elle glisse sa langue entre mes lèvres, un spasme de désir secoue mon ventre. Je ne sais pas où donner de la tête ; sa bouche, son cou, ses seins ?
Mes doigts s'aventurent vers son intimité. Trempée. Je suis très excitée d'y plonger. Je voudrais tout caresser, tout toucher, tout prendre, tout lécher, tout sentir. État de grande confusion dans mon cerveau.
Mes doigts jouant avec sa chatte, je me caresse contre son tibia. Je le recouvre de ma cyprine. Je m'y frotte comme si la course du monde en dépendait. Elle étouffe mes gémissements quand je jouis.

N°121


Vendredi. Minuit. Avec Paul. 

Je dors déjà quand mon téléphone sonne : "Tu peux descendre, là ? - Putain... je dormais. -Arrête de jurer, enfile un truc et viens me rejoindre."
Arrivée en bas de mon immeuble, je constate que la panne d'électricité se poursuit. L'éclairage public n'a pas été rétabli dans quelques rues du quartier, il fait nuit noir. 
Nous nous câlinons, comme deux adolescents dans la cour du collège. Des baisers, des mains qui se baladent, des souffles qui s'accélèrent. Je suis à peine habillée : mes seins, mon ventre, mes fesses sont à portée, la nuit permet toutes les folies. 

Paul m'attire vers un profond renfoncement de porte. Il retire mon tee-shirt, déboutonne sa braguette et me fait m'accroupir, face à son sexe dressé. Je le prends en bouche, le dos appuyé contre le mur de la boulangerie. Parfois, une voiture illumine la rue de ses phares. Paul se fige, espérant me cacher de son ombre. (...)

Le goût de son foutre dans la bouche, je me relève et l'embrasse. Je sais qu'il adore ça. Nos langues dansent. Il déboutonne mon jean et glisse sa main contre ma chatte, trempée, ruisselante. Il y enfonce ses doigts, me fait les lécher, étale ma mouille partout, retourne à la source. J'entends des voix à l'angle de la rue. Mon plaisir explose sous ses doigts alors qu'il contient mes cris de son autre main.

vendredi 13 septembre 2013

N°120


Sur mon canapé. Seule.

Je sens que je ruisselle. Entre l'écriture des n°118 et n°119, je m'offre une pause. 
Rapide. Explosive.


N°119


Avec Victor. Dans mon lit. 

Nous nous préparons à dormir. Nue, je sens sa queue contre mes fesses, contre mon dos. Il me caresse avec, doucement, et elle gonfle contre moi. J'aime sentir sa queue durcir. 
Je me retourne, m’engouffre sous la couette et la prends dans ma bouche. Cela fait si longtemps. (...)

Il laboure mon dos de ses ongles, pince mes seins, pétrit mes épaules, gifle mes joues. Je gémis, je râle, je lutte, je geins. Son pieds s'est glissé entre mes cuisses et par je ne sais quel prodige, son pouce s'est fiché dans mon fondement et m'encule. Mes doigts s'affolent sur mon clitoris en feu, ma respiration s'accélèrent. Je jouis dans un cri.

mercredi 4 septembre 2013

N°118


Qq secondes après.

Je n’ai pas le temps de savourer mon plaisir qu’il m’attire à lui, m’enfonce sa queue dans la bouche et se répand au fond de ma gorge.

Pause. Suis HS. Je lèche mon plaisir sur son pied.

Bien que je pense ne pas pouvoir jouir à nouveau, j’obéis à sa demande de reprendre ma position de sale cabot, les cuisses bien écartées contre son pied, y frottant ma chatte trempée. J’ai mal aux genoux, irrités par la moquette. Je me sens terriblement femelle, assoiffée. Il me parle, me dit que je suis une chienne. Est-ce à ce moment-là que j’ai joui ?

N°117


Lundi tea time. Dans mon salon. Avec Cyril.

J'appréhende un peu cette rencontre tout en étant très excitée à l'avance. Les pratiques de Cyril m'ont l'air bien plus hard que les miennes et je crains de ne pas être à la hauteur. Je suis déjà trempée lorsqu'il sonne à la porte et ne porte pas de culottes sous ma robe. (...)

Alors que je suis par terre, les cuisses écartées, les doigts jouant avec ma chatte trempée, il s'allonge sur moi et enfonce sa queue dans ma bouche. Elle est bien là, présente, elle prend toute la place, elle m'empêche de respirer. (…)

Il est assis sur mon canapé, nu, sa queue fièrement dressée. « Venez ». Je monte et m’empale sur lui très lentement. Je sens sa queue m’écarter, m’ouvrir, me remplir, me prendre. Il me fait mal mais je sens une vague dans mon ventre. Alors que je suis proche de basculer dans le plaisir : "Vous ne jouissez pas. Pas maintenant. Pas sans ma permission". (…...)

Je suis nue, plugée, à quatre pattes devant lui, des traces de fouet sur les fesses, la marque de sa queue dans ma bouche, la chatte ruisselante. Mon cerveau est out. Quand il me demande de me caresser sur son mollet, je deviens animale. Je ne suis plus qu’une chienne se frottant contre son maître. Je frotte mon clito contre sa jambe, le plug vient appuyer contre son pied à chaque mouvement. Je sais que je vais jouir comme ça. Je serre encore plus sa jambe, râlant, gémissant. Sa queue est trop loin, je suce ses doigts, remplie. J’explose.